dimanche 25 avril 2010

À la recherche du meilleur ami canin


Ça y est! J’ai décidé de m’acheter un chien! En fait, pour vous dire la vérité, ce n’est pas la première fois… Lorsque j’étais au secondaire, j’ai eu la merveilleuse idée de m’acheter un minuscule yorkie-poo! Qu’est-ce que c’est que cette chose??? Eh bien, c’est un étrange mélange de yorkshire et de caniche miniature. C’est donc un animal féroce d’environ une pomme de haut. J’ai nommé mon animal Brutus (ironie), et j’ai tenté de l’élever (et je dis bien tenté parce que c’est un têtu mon pitou!) du mieux que j’ai pu dans le confort de la maison familiale. Ce à quoi je n’avais pas vraiment pensé, c’est que je devais quitter la maison pour habiter en résidence au Cégep… Donc, bien sur, pas le droit d’animaux dans nos minuscules chambres. Ma mère a sauté de joie (sarcasme) à l’idée de devoir garder la bête à la maison. Brutus est toujours parmi nous, mais puisqu’il n’habite pas avec moi , j’ai décidé que j’ai maintenant la maturité et l’énergie pour m’occuper d’ou nouvel ami poilu.



Je fais donc des recherches sur Internet depuis plusieurs jours, afin de découvrir quel nouvel enfant je pourrais bien adopter. J’ai commencé par m’intéresser aux bouledogues anglais, mais ces trucs son beaucoup trop chers et ont des problèmes de santé à n’en plus finir. Mon deuxième choix favori est le basset-hound. Vous savez le sublime animal au ventre qui traîne par terre et aux oreilles infinies? J’avais trouvé la petite femelle parfaite… jusqu’à ce que mon copain s’en mêle. Parce que, cette fois-ci, je me suis trouvé un partenaire pour partager la garde de mon bébé… Eh bien, celui-ci ne semble pas apprécier mes goûts canins. Il me reproche de choisir seulement des animaux physiquement repoussants et beaucoup trop féminins. Ces choix à lui se dirigeaient plutôt vers des monstres de 8 pieds au regard meurtrier, tels le pitbull ou le Braque Hongrois. Comme si j’avais de la place pour un presque poney dans mon appartement! En plus je n’ai pas envie que la chose se rebelle contre moi un de ces jours, et décide d’avaler mon visage en entier… Je m’en tiens donc au chien qui auraient besoin de monter sur une chaise pour atteindre mon joli minois.

Après maintes recherches, je crois que nous nous sommes finalement entendus sur une race vraiment mignonne, tranquille, douce avec les enfants, et n’ayant pas besoin d’aller courir 35 kilomètres en montagne tous les jours…. Le Shar Pei! Eh oui, ces sublimes petites bêtes d’origine chinoise avec la peau toute plissée. Voici un petit vidéo vous montrant un joli bébé identique à celui que je vais avoir. Je vous redonne des nouvelles sur l’éducation de ma petite dès qu’elle va emménager avec moi.






Shutter Island... fiction ou réalité?


Avez vous vu le dernier Scorsese? Moi oui!!!! Quel bon film! Léonardo Dicaprio est impeccable, comme toujours. Et la mise en scène est parfaite! Je croyais aller voir un film très violent et épeurant, mais j’ai été agréablement surprise de tomber sur un thriller psychologique intense avec une fin qui manipule l’intelligence et l’esprit de l’auditoire.

« Shutter Island» raconter l’histoire de deux U.S Marshal’s, Teddy Daniels (Dicaprio) et Chuck Aule (Mark Rufallo), qui doivent se rendre sur une île au large de Boston abritant une prison pour les fous. La disparition mystérieuse d’une des patientes, Rachel Solando, amène les deux policiers à faire une enquête approfondie sur la prison à haute sécurité. Plus le film avance, plus le personnage principal se met à devenir paranoïaque et à voir resurgir des fantômes de son passé. On se met alors à se demander si Teddy Daniels n’est pas devenu prisonnier de cette île pratiquement impossible à quitter, mis-à-part par traversier. Les indices nous amène à penser que les docteurs, infirmières et policiers travaillant sur «Shutter Island» désirent en fait que Teddy soit diagnostiqué comme fou, lui aussi, pour qu’ils puissent faire des expérimentations sur son cerveau.

Ce qui me choque le plus de ce film est la fin. En fait, je croyais l’avoir comprise, jusqu’à temps que je parle à des gens qui avaient lu le livre. Ces derniers m’ont appris que ce que je croyais dur comme fer être la réalité ne l’était peut-être pas…. Cela porte à confusion si vous n’avez pas vu le film, mais une fois que vous en aurez fait l’expérience vous comprendrez mieux de quoi je veux parler.

Je crois aussi que la lecture du livre peut aider à mieux saisir l’essence de l’histoire et du personnage principal. Je suis allé dénicher de l’information sur plusieurs blogues, et les analyses de ce récit son nombreuses et variées. Certaines personnes ont même relu le livre plus d’une fois, afin d’accéder à des détails leur permettant d’affirmer une ou l’autre des options suivantes : Teddy Daniels est fou ou il ne l’est pas…..
«Shutter Island», comme tous les films de Scorsese est un petit bijoux à ne pas manquer. Pour ce qui est de la fin, à vous de forger votre opinion.



Histoires de femmes...


Dans mon billet précédent, je vous ai parlé d’un personnage de film (et de livre) qui m’inspire beaucoup. C’est parce que je trouve particulièrement intéressant de voir les différentes étapes de libération et de l’évolution de la femme dans la société. En effet, les femmes qui ont été en avance sur leur temps, que ce soit dans les livres ou dans la réalité, ont toujours eu du fil à retordre. Je ne m’avance pas en tant que grande féministe… je constate c’est tout. Lorsqu’on se met à analyser des personnages de roman comme Mme Bovary ou encore la femme de Mr. Rochester dans Jane Eyre, on se rend rapidement compte que si ces personnages avaient vécu à notre époque elles n’auraient aucunement été considérées comme folles. Elles auraient plutôt eu le statut de femmes indépendantes ou libérées, ne satisfaisant pas aux caractéristiques normatives de la société. Toutefois, un personnage en particulier a fait basculer toutes mes idées préconçues de la femme libérée, celui d’O dans le populaire roman érotique «Histoire d’O», écrit par Pauline Réage.

J’ai commencé à lire ce roman, se déroulant dans les années 50, en me disant que le personnage principal était une folle finie! En effet, cette dernière se lance dans une expérience de négation d’elle-même qui va à l’extrême. Elle se laisse posséder et toucher par n’importe qui, n’importe ou, tant qu’elle sait que c’est à la demande de son amant. «Histoire d’O» a d’abord été considéré comme un ouvrage sado-masochiste. Mais il n’en est rien. C’est plutôt une déclaration d’amour pur et simple. O n’est pas esclave de son maître parce qu’elle en a été forcée. C’est, en fait, une femme libre sexuellement et follement amoureuse d’un homme. Son amour pour lui va à un extrême que peu de femmes accepteraient d’atteindre, mais cela reste que c’est son propre choix et c’est ce qui la rend heureuse. Ce roman m’a amené à remettre en question les fondements même du féminisme et de la libération de la femme. On voit cette révolution comme étant un appel à la société de se réveiller et de laisser plus de place et de droits aux femmes, mais il est important de constater que toutes les femmes ne désirent pas les mêmes choses. Pour certaines, l’équité salarial ou le droit de vote, elles n’en ont strictement rien à foutre! Tout ce qu’elles veulent c’est pouvoir être avec qui elles désirent, quand ça leur chante…
Je crois que Pauline Réage a tenté, grâce cette œuvre, de repousser les barrières pour démontrer qu’une histoire d’amour peut prendre plusieurs formes, tout comme une femme libre et indépendante.
«Histoire d’O», est, sans contredit, un roman à découvrir puisqu’il est un intéressant mélange d’érotisme et de conquête absolue (ou don absolu dépendamment de quel coté on se place…) de son partenaire. Certains l’ont trouvé choquant, moi j’ai trouvé cela triste à pleurer. À vous de voir!

Un petit déjeuner chez Tiffany's ça vous dit?


Chaque être humain est différent. Nos valeurs, notre caractère, notre culture, nos croyances… Nous réagissons tous de façons variés à nos moments de tristesse et de stress. Et bien pour, moi, la seule façon de me rendre vraiment joyeuse quand quelque chose ne va pas et de me planter devant un délicieux film classique américain, mettant en vedette Audrey Hepburn. Sa douceur et sa beauté m’apaise instantanément. Je suis particulièrement fan de Breakfast at Tiffany’s. Ce film est, selon moi, un des plus grands chef d’œuvre de tout les temps… précisément à cause de la performance de la gracieuse Audrey. Truman Capote, auteur du livre ayant inspiré le film du même nom n’était, au départ, pas satisfait du choix d’actrice pour incarner Holly Golightly. En effet, dans le livre, l’héroïne est blonde, et c’est une jeune femme très extrovertie à l’opposé d’Audrey Hepburn, reconnue pour sa discrétion.

Breakfast at Tiffany’s raconte l’histoire d’une jeune fille à la recherche de son identité. Elle fréquente des mauvais garçons et des hommes très riches, mais lorsqu’elle se sent seule ou désespéré et va passer du temps devant la vitrine de la célèbre bijouterie Tiffany’s, qui lui apporte paix et réconfort. Holly Golightly est un personnage angoissé et complètement perdu. Elle s’ennui énormément de son frère Fred, ainsi que de son Texas natal dont elle a pourtant tout fait pour s’éloigner. Sa relation avec son voisin, Paul Varjak, est une source de réconfort dans sa vie mouvementée. J’apprécie particulièrement ce film parce qu’il met en image les questionnements de milliers de femmes désirant une vie traditionnelle, mais ayant une personnalité trop forte et frivole pour apprécier une vie rangé. Holly Golightly est une bénédiction de la littérature est du cinéma, elle m’a envoûté la première fois que j’ai vu le film, et elle continue de me séduire et de me pousser à me remettre en question à chaque fois que je la laisse pénétrer dans le confort de mon salon. Mon moment favori du film est celui ou Paul Varjak observe Holly du haut de son balcon lorsqu’elle chante «Moon River». La voix de l’actrice est tout simplement sublime… Pratiquement plus douce que celle de Carla Bruni.

Donc si un jour vous avez les blues je vous suggère fortement d’aller louer Breakfast at Tiffany’s. Peut-être que, tout comme moi, cela changera votre vie à jamais….





samedi 24 avril 2010

Tout inclus? Why god why???!!!!




Il y a quelques années, j’ai tenté une expérience vacance «hôtel formule tout inclus» en République Dominicaine. Ce fut la pire idée de ma vie! D’abord, quelle humiliation que de voyager avec des québécois saouls! Un taureau en rut a plus de classe! Et pourquoi les gens applaudissent-ils quand l’avion atterrit? J’ai beaucoup voyagé dans ma vie, mais je n’avais jamais été témoin de cela auparavant… Voyons donc! Il n’y a pas de raison de taper des mains! Nous avons payé notre billet, il est totalement normal que le pilote arrive à faire atterrir l’avion sur le sol de manière sécuritaire. C’est simplement une fin logique!

L’avion est, par contre, une partie de plaisir comparativement au reste de la semaine dans un stupide «tout inclus»… D’abord parlons bouffe… J’ai encore mal à l’estomac à penser à la nourriture servie dans un gros buffet (étrange ressemblance avec le buffet Kirin à Saint-Jérôme!), ou tous les immondes porcs s’empiffrent d’une quantité ridicule de nourriture simplement parce qu'ils peuvent en avoir à volonté. Beurk! Et la bouffe ce n’est rien comparativement aux drinks à n’en plus finir dans lesquels les vieilles matante de Shawinigan se noient pratiquement, encore une fois, parce qu'ellels peuvent en avoir à volonté… Tu parles d’un concept!

Et bien sur il y a la plage… Pas si belle en passant… Il ne faudrait surtout pas manquer une seule seconde de soleil voyons! Sinon nos 28 semaines consécutives de salon de bronzage intensives n’auront servies à rien! Il est impératif de revenir à la maison «noère comme un grain de café» sinon c’est de l’argent gaspillé!

Ensuite, pour être bien certain de ne pas perdre leur place sur la plage lorsqu’il doivent quitter (parfois même pour plusieurs heures) leur inconfortables chaises longues, les grands voyageurs de «tout inclus» font bien attention d’attacher des objets gonflables ou même de laisser un vieille sandales sur celles-ci. De cette manière, personne n’osera s’approcher de LEUR chaise!


N’étant pas une adepte de procrastination sur la plage, j’avais décidé de me joindre à une visite de l’île. Je croyais, grâce à cela, arriver à en apprendre plus sur la culture du pays en plus de pouvoir apprécier des paysages différents de celui de mon hôtel. Mes attentes étaient beaucoup trop grandes hélas! En effet, ce qu’ils appelaient «visite de l’île» était plutôt une activité magasinage pour des maudits bijoux complètement laids, que les madames de Verdun s’arrachaient croyant être tombées sur des aubaines incroyables! Le comble de mon humiliation face à mon peuple a été lorsqu’une québécoise a eu l’imbécillité de demander au guide parlant à peine 5 mots d’anglais et absolument aucun français : « sauriez vous oussé qu’on pourrait vouère la maison de Gildorrre Roy? Spass yé marié ak une républicaine…». BRAVO!

Finalement, pour mon voyage au soleil cette année, j’ai plutôt opté pour une formule aventure au Mexique avec absolument rien d’inclus! Je vous en redonne des nouvelles!

mercredi 14 avril 2010

Bring back Canal Famille!


Chaque génération est marquée par différentes personnalités, chansons ou séries cultes. Les émissions que nous écoutions dans notre enfance ne nous quittent jamais complètement et peuvent animer des conversations durant des heures, même avec des personnes qui n’ont absolument rien en commun…D’ailleurs, après une soirée bien arrosée, mes amies et moi nous sommes attardé à nous remémorer de vielles émissions ayant marqué notre enfance. Bien sur, Passe-Partout, Bouledogue Bazar, Les intrépides et Watatatow sont ressortis comme des classiques de notre génération. Mais nous avons aussi fait revivre des émissions, dont je n’avais plus aucun souvenir!


Si je vous dit : jeu questionnaire, participant pion et serpents et échelles…. Qu’est-ce qui vous vient en tête? SHLAK bien sur!!!! Cette émission animée par le populaire Patrick Hunault (à cette époque en tout cas!), rassemblait des jeunes de différentes écoles secondaires qui devaient répondre à des questions sur la culture populaire et relever des défis complètement absurdes. Le but ultime étant de participer au GRAND SHLAK! Le rêve!

Maintenant quelques indices : 2 grands clowns bizarres qui se sont échappés d’une bande dessinée? Ça vous dit quelque chose? Fripe et Pouille évidemment! Les aventures cocasses de ces personnages originaux étaient aussi un incontournable des meilleures émissions de canal famille!

J’avais aussi oublié l’existence de l’émission Enfanforme! Élyse Marquis et Joël Legendre ont tous deux débuté leur carrière grâce à leurs personnages de Chloé et Pélo…. D’ailleurs voulez vous bien me dire d’ou ça sort le nom Pélo? Chloé je veux bien… Mais Pélo c’est juste sorti de nulle part! L’idée de cette émission était de motiver les enfants à faire de l’exercice grâce à des jeux, des sketchs ou des chansons.

Au rayon des émissions bizarroïdes, Marshall et Simon battait sans aucun doute tous les records. Ces deux jeunes amis vivant à Eerie, une ville étant le théâtre de phénomènes les plus absurdes les uns que les autres, étaient à tout coup les seuls à s’apercevoir des événements bizarroïdes de leur patelin.

Maintenant si on entre dans le monde des dessins animés…

Léa et Gaspard… La petite maigre et son ami grassouillet nous raconte des classiques de la littérature, mais dans des versions modifiées ayant pour but de s’opposer à la mal-nutrition

Mégabogues… L’action de cette émission se déroulait dans un ordinateur, et les moments les plus palpitants avaient lieu lorsqu’un jeu arrivait et mettait les personnages en danger (tenter de l’expliquer rend cette série encore plus absurde!).

Finalement, le dernier, mais non le moindre… Les aventuriers de l’espace. Cette émission était simplement déprimante… Les personnages devaient quitter leur famille pour aller dans l’espace et se retrouvaient toujours dans les pires des situations… Je crois d’ailleurs que cette série n’a jamais eu de fin…













Je pourrais continuer à en nommer pendant des pages et des pages, mais selon moi, ces émissions étaient les plus drôles à me remémorer. Ça me pousse aussi à me demander… Mais qu’est-ce que les nouvelles génération apprécie dans des émissions stupides comme Pokémon? Vive la bonne vieille époque de Canal Famille! J

lundi 12 avril 2010

Lost…. la fin approche


Si comme moi, vous êtes de fervents admirateurs de la merveilleuse série Lost, vous êtes certainement plus qu’excités de savoir que, dans quelques semaines, nous auront peut être enfin des réponses aux nombreuses questions s’étant accumulés durant les six dernières années. En effet, au mois de Mai prochain, la série en viendra finalement à une conclusion, lors d’un spécial épisode triple.

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce chef-d’œuvre télévisuel, voici une petite description qui saura vous éclairer sur les bases de la série….

Lost est une émission diffusée, depuis 2004, sur les ondes de ABC (CTV au Canada). Elle raconte l’histoire des survivants du vol 815, qui devait se rendre de Sydney, en Australie, à Los Angeles, aux États-Unis. Le destin des nombreux passagers voyageant à bord de cet avion se retrouve complètement bouleversé, lorsque celui-ci s’écrase dans l’océan, aux abords d’une île qui n’a rien d’ordinaire.

Tenter de raconter le reste de l’histoire, dans un court article comme celui-ci, tiendrait du miracle. En effet, les différents épisodes de la série sont remplis de moments du passé, du futur, et même parfois d’un présent parallèle à ce qui se passe sur l’île. Alors que les téléspectateurs s’attendaient au départ à une série d’action du type « survivants», ils ont plutôt eu droit à un récit de science-fiction ou s’affrontent régulièrement le bien et le mal. La tournure qu’à pris la série est du jamais vu dans le monde de la télévision.

Je suis, depuis les débuts, une adepte de Lost. La sixième saison me tient en haleine depuis déjà plusieurs semaines, et je n’arrive toujours pas à savoir ou les réalisateurs veulent nous amener. La pression est immense, car, tout comme moi, des millions de téléspectateurs s’attendent à une fin grandiose ! Bien sur, puisque la série à ouvert plusieurs portes à de nombreuses intrigues durant les dernières années, il serait bien surprenant que tout soit dévoilé. Parfois, il est bon de garder un peu de mystère, afin de donner de la crédibilité à l’histoire. Mais tout de même voici les questions, qui selon moi sont les plus pertinentes ; qui est donc le fameux monstre de fumée noire ? En fait, qu’est donc le monstre de fumée noire ? Que signifie les fameux chiffres répétés tout au long de la série ? Et finalement ! Est-ce que Kate va finir avec Jack ou Sawyer ???? Personnellement, je vote sans aucun doute pour le séduisant Sawyer !


Donc, si vous n'êtes pas déjà accro à la série allez vite vous achetez les dvd pour pouvoir profiter de la succulente finale qui nous attends le mois prochain!



lundi 8 février 2010

Le vol de nains de jardins…une nouvelle drogue?


Comme j’en ai déjà parlé précédemment, je suis originaire d’un petit village un peu dans le milieu de nulle part. En vieillissant, il est facile de trouver des activités passionnantes à faire tous les jours, mais à l’adolescence, le manque d’activité est assez flagrant. Cet emmerdement profond de la jeunesse nordique mène parfois à des actes impulsifs et peu intelligents, tel le vol de nain de jardin! Eh oui! C’est bien vrai! Amélie Poulin n’est pas la première à avoir eu cette idée, et elle ne sera pas la dernière….

Le vol de nain de jardin est maintenant très populaire et répandu dans plusieurs parties du monde. Après avoir fouillé le Web à la recherche d’informations sur le sujet, je suis finalement tombé sur le site plutôt cocasse du
FLNJ (front de libération des nains de jardins) qui prétend que le «voleur de nains» suit la plupart du temps le même processus. En effet, l’analyse du comportement de ce criminel hors pair a permis de découvrir que les étapes menant à la dépendance au vol de nain est souvent le même.

Tout d’abord, le voleur s’adonne à une première expérience, souvent accompagné de plusieurs complices. Simplement pour faire une bonne blague, parce qu’il s’ennuie et qu’il trouve drôle de subtiliser un objet aussi absurde pour se distraire. Mais la blague ne s’arrête malheureusement pas là! Et non! La sensation procurée par le premier vol excite tellement le voleur qu’il ne peut s’empêcher de recommencer. Il découvre un malin plaisir à s’emparer, nuit après nuit des décorations de mauvais goût de pauvre propriétaires ayant tenté, en vain, d’enjoliver leur plate-bande.

Le voleur entraîne souvent de nouveaux adeptes avec lui, en leur faisant comprendre la sensation de bien-être procurée par la libération des nains. Parce que ce voleur ne se considère pas du tout comme un malfaiteur! Non! Il se croit libérateur, et s’imagine faire le bien.

Le plus drôle dans tout cela, c’est que le voleur s’attache ensuite à ses proies. Il se met à parler aux nains et à avoir un amour inconditionnel pour ces objets. Parfois, le voleur s’aperçoit aussi qu’il a peut-être brisé le cœur d’un pauvre propriétaire, et il se met à avoir de l’empathie pour ceux qui ont perdu un fidèle compagnon. Il peut parfois laisser derrière lui un petit mot expliquant que le nain kidnappé est entre bonnes mains et qu’il n’y a pas de raison de s’inquiéter à son sujet.

Personnellement, j’ai rencontré des voleurs de nains. Des jeunes aillant dépouillé les jardins de leur voisin pour renflouer le leur avec de nombreuses proies. J’ai côtoyé des passionnés du vol et j’ai passé du temps en compagnie des nains disparus. Je trouve que cette mode, dans toute son absurdité est complètement passionnante!!! Si j’avais des enfants, je préfèrerais sans aucun doute qu’il s’amuse à voler d’innocent nains de jardins plutôt que de passer des heures à glander sur un banc de parc à essayer différents types de drogues.
Je crois au fond que les nains sont simplement de grands voyageurs, et qu’ils se plaisent certainement à se promener de jardin en jardin, de ville en ville, de pays en pays….
Fred

mercredi 3 février 2010

Designers Remix Collection




La mode est pour moi non seulement le milieu dans lequel je travaille et celui que j’ai étudié durant plusieurs années, mais aussi une passion que je cultive depuis mon plus jeune âge. Je peux passer des heures à feuilleter les magazines féminins qui dévoilent les tendances du moment et les nouveaux produits de beauté qui promettent de me faire ressembler à une star. À chaque début de saison, une grande partie de mon temps est consacré à la planification de mes futures tenues, en passant par les souliers, les bijoux, les vêtements jusqu’à la couleur de mon baume pour les lèvres….

Puisque la mode occupe une place aussi importante dans ma vie, j’ai pensé débuter mon blogue en parlant d’une marque de vêtement que j’affectionne particulièrement ; Designers Remix Collection. Cette ligne de vêtements scandinave offre des magnifiques produits moyens haut de gamme. La designer Charlotte Eskildsen a créé sa propre marque il y a quelque années, et obtient un succès grandissant depuis. Elle a d’ailleurs récolté plusieurs prix dont celui de la designer danoise la plus talentueuse. Le Danemark étant maintenant un des pays les plus importants pour ce qui est du monde du prêt à porter, Charlotte Eskildsen s’est sans aucun doute démarqué de ses pairs.



Designers Remix Collection est une ligne d’une qualité impeccable. Elle offre des vêtements au style chic et avant-gardiste. Ce que j’affectionne particulièrement à propos de cette marque, c’est qu’elle peut autant satisfaire une clientèle sophistiquée et mature, que jeune et sexy, elle est complètement imprévisible. Les designs de Charlotte Eskildsen savent séduire les femmes friandes de mode et de tendances. Chaque collection suit une ligne directrice précise, que ce soit au niveau de l’inspiration que des couleurs dominantes. Contrairement à d’autres marques qui semblent désespérées de plaire et de suivre les tendances les plus ridicules, Designers Remix Collection se défini par son originalité et ses morceaux de qualité supérieure.

Je conseille fortement à toutes les femmes d’ajouter au moins un morceau de cette ligne sublime à leur garde-robe, et j’encourage bien évidemment les hommes à gâter leur douce moitié grâce à un beau cadeau signé DRC.

Fred

lundi 1 février 2010

Un monde à part....


J’ai constaté depuis quelques temps, que la moyenne des gens ont tendance à parler sans fin des endroits ou ils sont allés, mais très peu de l’endroit d’ou ils viennent réellement. Il n’est pas rare de les entendre radoter durant des heures à propos d’une ville ou ils ont passé une seule journée, mais ils auraient de la misère à passer 15 minutes à parler de l’endroit ou ils ont passé la majeure partie de leur vie… Ce phénomène est sans doute dû au fait que les êtres humains ont une forte tendance à ne pas apprécier ce qu’ils ont déjà, et à toujours désirer ce qu’ils ne peuvent pas avoir. À dire vrai, je suis comme cela moi aussi. Je rêve de voyages, et dès que je mets le pied en dehors de ma petite province canadienne, je pleure de joie! Toutefois, malgré mon envie d’écrire à propos de tous ces endroits merveilleux que j’ai visité, j’ai plutôt décidé de décrire l’endroit magnifique ou j’ai grandi, le minuscule petit village de Val-David dans les Laurentides.

Vivre à Val-David est définitivement une expérience hors du commun. Le slogan représentant mon joli patelin est justement ; « Val-David, un monde à part». Avant toute chose, pour trouver ce coin de pays, il faut être très attentif, car il est facile de le dépasser sans même s’être aperçu qu’on était passé devant. C’est seulement une fois entré dans le village qu’on peut réellement apprécier tout le charme de cet endroit. Tout d’abord il est important de s’attarder aux différents types de personnes habitant cet endroit. C’est facile, il n’y en a que 3 ; les hippies, les familles en santé avec enfant et les pionniers du village. Il n’y a pas beaucoup d’endroits dans le monde ou vous aurez la chance de voir un jongleur pied nu en train de discuter avec une mère de famille s’apprêtant à aller faire de l’escalade avec ses trois enfants. Val-David offre, sans contredit, une expérience hors du commun à ses visiteurs .

L’activité la plus populaire au village est, sans aucun, doute la pratique des sports de plein air. En effet, puisque le village est situé sur le bord de la rivière du nord, surplombé de plusieurs montagnes et traversé par le parc linéaire, il est facile de comprendre pourquoi il est la destination favorite des amateurs de grand air. Que vous aimiez le ski de fond, la raquette, le vélo, la marche, le canot ou l’escalade, vous serez heureux à Val-David! Pour les plus paresseux, le village accueille depuis quelques années nombre d’excellents restaurants qui sauront exciter vos papilles! Que vous soyez amateurs de cuisine du terroir, de bistros français ou de bouffe bio, vous serez encore une fois comblés par les nombreux choix offerts dans mon trou perdu! Finalement, pour ceux qui aiment admirer l’art sous toutes ses formes, Val-David est définitivement un endroit à visiter. De nombreuses petites galeries ont trouvé leur place au cœur d’un village ouvert à la diversité culturelle. De plus, l’événement 1001 pots, qui a lieu à chaque année, attire toujours des tonnes de touristes. Si vous voulez vous abandonner à une expérience encore plus spéciale, il est aussi possible de visiter les Jardins du Précambrien, présentés par la fondation Derouin. Y sont présentés des spectacles musicaux, de la poésie, des arts visuels ainsi que plusieurs œuvres hors du commun.

Je crois donc, malgré mon amour des voyages, que je suis choyée de venir d’un endroit aussi spécial ou je me sentirai toujours chez moi. Val-David est mon monde à part à moi et je ne l’échangerais contre rien au monde.
Fred

Membres